Je suis indulgent(e) avec moi-même et avec les autres.
Comment pouvez-vous cultiver la bienveillance envers vous-même et autrui au quotidien ?
Je suis indulgent(e) avec moi-même et avec les autres.
Cela signifie que chaque jour, je m’efforce de traiter avec douceur et compréhension tant mes propres erreurs que celles des personnes qui m’entourent. Lorsque je fais face à un échec, je me rappelle que le chemin de l’apprentissage est pavé d’embûches et que chaque faux pas est une opportunité de croissance. Je m’accorde le droit de ne pas être parfait(e), d’avancer à mon rythme, et de célébrer mes progrès, aussi petits soient-ils.
Envers les autres, j’applique ce même principe d’indulgence. Je choisis de regarder au-delà des imperfections et des erreurs, pour voir le potentiel et la valeur intrinsèque de chacun. Lorsque quelqu’un me déçoit ou commet une erreur, je tente de comprendre ses motivations et ses contraintes, avant de réagir avec empathie et soutien.
L’indulgence n’est pas synonyme de complaisance ou de passivité. Elle requiert au contraire un engagement actif envers la gentillesse et la patience, avec soi-même et les autres. Chaque matin, je prends quelques instants pour respirer profondément et me rappeler cette intention : être indulgent(e). Dans les situations de tension, je fais une pause pour me recentrer sur cette affirmation avant de répondre ou d’agir.
À travers cette pratique quotidienne, je tisse de solides liens avec mon entourage, je renforce ma résilience personnelle et je contribue à créer un environnement plus chaleureux et compréhensif. En étant indulgent(e), je favorise non seulement mon bien-être, mais également celui de mon entourage. C’est ainsi que, peu à peu, je participe à la construction d’un monde plus bienveillant.
